Le grand jour !

Mercredi 22/03/2017 :



Ca y est ! Elle est prête ! 

Je prends enfin possession de mon Orcal Astor 125 grise (modèle aux normes E3).
J’y ai fait monter par anticipation un kit de sacoches latérales. Ces dernières proviennent de la marque Mash. Elles sont un peu moins jolies, mais moins chères et plus facilement disponibles que celles de chez Orcal. En outre, chez Orcal le montage de sacoches latérales  est indissociable du porte paquet arrière, qui donne un effet très moche à mon goût sachant qu’en plus je ne veux pas de top case.


Le concessionnaire me remet les clés, et attire mon attention sur le coupe circuit de la béquilles latérale qui a pour effet de bloquer le démarrage…quand elle est simplement dépliée. Sur la Shadow j’ai également un coupe circuit intégré à la béquille mais qui n’entre en fonction que lorsqu’on passe une vitesse si la béquille n’est pas repliée. Ici, la béquille déployée comme l’actionnement du bouton de coupe-circuit présent sur le comodo, ont pour effet de laisser le démarreur électrique s’enclencher mais sans établir le contact.
Pour la faire chauffer un peu avant de partir le matin ou par temps froid, il vous faudra donc rester dessus.

Bon, il est temps de la ramener à la maison.



Le point positif c’est qu’il faisait encore beau, donc pas de crainte au niveau des pneumatiques sous la pluie. Pour autant, le retour de chez le concessionnaire ne s’est pas fait sans mal.

Premièrement parce que le gabarit et la conduite  de l’Astor n’ont rien à voir avec ceux de ma Honda Shadow. Au premier abord on a plus l’impression de chevaucher une mobylette en comparaison. Mais la maniabilité est clairement décuplée, ce qui se ressent tant dans le rayon de braquage que dans l’amplitude de couchage dans les virages et rondpoints. Ici, pas de problème de garde au sol comme avec mon modèle custom !



 
L’autre point est que la moto est livrée avec 3.5 Litres environ et qu’on est à la limite de la réserve. Du coup je manquais de pêche, et j’ai calé plusieurs fois avec des redémarrages aux feux rouges laborieux. Heureusement, le réservoir n’était pas encore commuté en mode « réserve », et ce faisant j’ai pu tenir jusqu’à la station-service où je comptais me ravitailler.
Une fois le plein fait, c’est une toute autre histoire ! La bête vrombit avec élégance, le son du moteur restant très feutré avec une sonorité un peu « métallique » quand on monte en régime. Une conduite en toute discrétion, utile pour ne pas vous faire lapider par votre famille et votre voisinage quand vous partez tôt ou rentrez tard.





Les poignées sont également très fines comparées à celles de la Shadow et du coup j’ai les mains un peu plus contractées dessus, générant quelques endolorissements. Je pense que je les changerai rapidement pour un modèle de plus gros diamètre, si cela est possible.
En revanche les bottes de moto coquées que j’utilisais pour conduire la Shadow resteront affectées à cette dernière. En effet, le sélecteur de vitesse est trop proche du cale-pied pour permettre d’aisément passer les vitesses avec ce type de chausses.
 



Bon, un premier voyage un peu bonnant-malant, mais arrivé à bon port et tout content.

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